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Collation et repas de récupération post-compétitifs

L’alimentation de récupération s’organise sur deux temps successifs. D’abord la collation de récupération immédiate puis le repas de récupération à distance.

Les effets recherchés restent similaires, et s’articulent sur trois objectifs principaux :

La collation de récupération immédiate

La collation de récupération immédiate doit avant tout assurer un apport précoce en eau et en glucides.

Cette collation compose généralement le ravitaillement à l’arrivée des épreuves :

A l’arrivée des épreuves de longues distances, l’alimentation sucrée absorbée pendant plusieurs heures d’effort conduit souvent à un rejet vis-à-vis du sucre, par écœurement. Un ravitaillement salé peut alors se concevoir, sous forme d’un potage énergétique (légumes pomme de terre, lentilles…), cake salé, pain grillé jambon.

A éviter : Inutile de rappeler que les gâteaux type quatre quarts, sodas, bière, chips, sont des aliments trop gras et/ou trop sucrés et acides, et nuisent à la récupération, même s’ils sont malheureusement proposés en ravitaillement de certaines courses par des organisateurs peu scrupuleux…

Le repas de récupération à distance

Le repas de récupération va accentuer la recharge énergétique, apporter les protéines de cicatrisation, et apporter des anti-oxydants pour la lutte contre les radicaux libres.

A éviter : l’alcool, les excitants (thé, café), les aliments et boissons acides (sodas). Cette base de repas sera agrémentée d’aliments « plaisir », salés ou sucrés, selon les goûts de chacun.